jeudi 6 juin 2013
SURCOMPENSATION
Le corps humain est une machine très complexe. Obtenir des résultats optimaux en un minimum de temps n’est pas une mince affaire. C’est pourquoi l’entraînement doit être bien planifié et doit respecter les limites du corps.
Le Principe de la surcompensation
Pouvoir effectuer le même effort avec plus de facilité ou plus d’effort avec le même niveau de fatigue dans les jours qui suivent un entraînement, voilà ce qu’est la surcompensation. D’abord, l’entraînement impose un stress à l’organisme et amène de la fatigue. Puis, le corps récupère afin d’augmenter ses capacités pour la prochaine fois où il aura affaire au même stress. Bref, la surcompensation, c’est le fait de s’améliorer de fois en fois.
Pour sur-compenser, il faut s’entraîner pendant les journées où notre corps est le plus en forme et que nos capacités sont au maximum. Ainsi, on s’améliore au fil du temps et on obtient des résultats plus rapidement. Dans le cas contraire, on ne fait que maintenir nos acquis.
Prenons un exemple. Vous réalisez une séance d’entraînement de votre haut du corps très difficile le lundi. Selon votre programme, vous devriez répéter ces mêmes exercices le mercredi, mais vous êtes extrêmement courbaturé du haut du corps. Que faire? D’abord, pour sur-compenser, il vaut mieux reporter cet entraînement et travailler d’autres muscles. Ensuite, il n’y a que deux solutions possibles : allonger les temps de repos entre les séances ou diminuer la charge de travail pour votre haut du corps. Dans tous les cas, un entraîneur personnel saura mieux vous guider de façon plus précise.
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